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Le bilan de l'ère BlanquerChers amis,
Le soir de sa réélection, Emmanuel Macron a déclaré : « Cette ère nouvelle ne sera pas la continuité du quinquennat qui s’achève, mais l’invention collective d’une méthode refondée ».
Quel est le bilan de l’ère ancienne, avec Jean-Michel Blanquer à la tête du ministère de l’Education nationale et que peut-on attendre de l’ère nouvelle avec Pap Ndiaye ? Lire la suite... |
Questions crucialesRéponse à une tribune
L’Obs du 8 novembre 2018 a publié une tribune[i] des syndicats majoritaires des enseignants du primaire, de mouvements pédagogiques et de la FCPE reprochant à Jean-Michel Blanquer de vouloir imposer « une conception de l’école basée sur une approche technicisée des apprentissages » qui réduirait l’enseignant « à un rôle de technicien, loin de son rôle de concepteur d’apprentissages adaptés aux besoins ». Débats et Polémiques
Ce numéro est consacré à un genre d’écrit différent de celui auquel les lecteurs de la sont habitués. Les analyses que nous faisons habituellement de la situation de l’école, des décisions prises à son égard par les responsables politiques et des arguments développés dans des livres, dans la presse ou dans des études scientifiques ont pour objet de contribuer à la défense et au progrès des idées qui sont les nôtres en matière de liberté d’enseignement et de choix pédagogiques. La réforme de l’orthographe vue par Luc Cédelle
Mme Vallaud-Belkacem ayant fait appliquer pour la première fois dans le Bulletin officiel de l’Education nationale la réforme de l’orthographe de 1990 avait ensuite prétendu, devant le tollé suscité par cette décision, que cette réforme avait été décidée par l’Académie française. Nous avions publié une mise au point dans notre lettre trimestrielle, montrant que cette réforme était l’œuvre de Michel Rocard, alors premier ministre*.
Nous y rappelions que l’Académie avait entériné cette réforme après que François Mitterrand son protecteur eut déclaré « Cette affaire ne m’a pas beaucoup excité. Je m’aperçois qu’il y a de plus en plus de gens sympathiques qui sont contre. Si le Premier ministre juge indispensable cette réforme à laquelle il s’est tant appliqué, pourquoi pas ? »
J’ai rappelé cet épisode récemment, lorsque l’actuel gouvernement espagnol a annoncé son intention de réformer lui aussi l’orthographe. Luc Cédelle, rédacteur de La lettre de l’éducation, publication du groupe Le Monde, m’ayant contredit sur Twitter, en reprenant à son compte la justification forgée par Najat Vallaud-Belkacem, je lui ai rappelé ce qui est indiqué ci-dessus. Lire la suite : La réforme de l’orthographe vue par Luc Cédelle Lecture : pour un retour à la raison
Les résultats de la Journée Défense et citoyenneté de 2017 qui viennent d’être publiés montrent que près du quart (23%) des 770 000 Français de 17 ans qui y ont participé sont pour la moitié d’entre eux des lecteurs médiocres, l’autre moitié ayant de très faibles capacités de lecture ou des difficultés sévères. Une enquête singulière
Le Secrétariat général de l’enseignement catholique a publié en septembre dernier un « Bilan d’étape de la mise en place de la réforme du collège[i] », fruit d’une enquête auprès des collèges de son ressort. Dans l’introduction, le rédacteur juge notable « que 28,4% des enquêtes renseignées l’ont été en concertation entre le chef d’établissement et différents acteurs, dont 1,7% avec des élèves et 3,4% avec des parents ». Plus d'articles... |