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Liberté d'enseignement et liberté pédagogique
L’Instruction en Famille est une liberté reconnue par la loi Jules Ferry de 1882 qui rendait l’instruction obligatoire. Elle a été sacralisée par la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948. Le projet de loi confortant le respect des principes de la République qui sera discuté au Sénat à partir du 30 mars prévoit de soumettre cette liberté à une autorisation préalable au cas par cas. ll s’agit donc, en fait, d’y mettre fin en la transformant en une simple dérogation. Lire la suite... |
Questions cruciales"L'erreur" de Jean-Michel Blanquer
Jean-Michel Blanquer a déclaré, sur France Culture, le 31 août : « Il y a plus de filles que de garçons qui ne vont pas à l’école maternelle pour des raisons sociétales. Et appelons un chat un chat, le fondamentalisme islamiste dans certains territoires a fait que certaines petites filles vont à l’école le plus tard possible. »
Les Décodeurs du journal Le Monde ont publié le 1er septembre un billet indiquant que si les filles représentent 48,8% des naissances, elles représentent 50,3% des enfants scolarisés à 2 ans, 48,9% de ceux de 3 ans et 49% de ceux de 4 ans. Réponse à une tribune de Paul Devin
L'école de la confiance
Jean-Michel Blanquer avait déclaré, après sa nomination, il y a deux ans, à la tête de l’Education nationale qu’il n’y aurait pas de loi Blanquer. Cette déclaration reflétait sa volonté de redresser la situation dans laquelle ses prédécesseurs avaient laissé l’école par des mesures de bon sens, plutôt que par de grandes résolutions de principe.
S’il s’est résolu à présenter au Parlement le projet de loi intitulé « Pour une école de la confiance », c’est sans nul doute parce que les décisions qu’il a prises se sont heurtées à l’opposition active ou passive d’une partie notable du corps enseignant, de la grande majorité de leurs syndicats et à celle des spécialistes des sciences de l’éducation, décidés à faire échouer toute réforme. Les évaluations au CP
Le ministère a affirmé, dans un communiqué de presse du 26 avril, qu’entre les évaluations faites en CP au début de l’année scolaire et celles de janvier « le nombre d’élèves en difficulté sur la connaissance des lettres était passé de 23% à 3% », affirmation reprise dans une lettre aux professeurs des écoles de Jean-Michel Blanquer datée du 7 mai.
Dans un article daté du 10 mai Roland Goigoux confirmait « ces chiffres sont exacts », mais ajoutait « cet argument est mensonger ». La suite de l’article montre, comme son titre le suggère, qu’il faut lire trompeur pour mensonger. La nouvelle pédagogie
Jean-Michel Blanquer avait déclaré, après sa nomination, il y a deux ans, à la tête de l’Education nationale qu’il n’y aurait pas de loi Blanquer. Cette déclaration reflétait sa volonté de redresser la situation dans laquelle ses prédécesseurs avaient laissé l’école par des mesures de bon sens, plutôt que par de grandes résolutions de principe. Plus d'articles... |