.componentheading, .contentheading, div.module h3, div.module_menu h3, div.module_text h3, h2, a.contentpagetitle { font-family:Nobile;} #top_outer { border:none;}
Le bilan de l'ère BlanquerChers amis,
Le soir de sa réélection, Emmanuel Macron a déclaré : « Cette ère nouvelle ne sera pas la continuité du quinquennat qui s’achève, mais l’invention collective d’une méthode refondée ».
Quel est le bilan de l’ère ancienne, avec Jean-Michel Blanquer à la tête du ministère de l’Education nationale et que peut-on attendre de l’ère nouvelle avec Pap Ndiaye ? Lire la suite... |
Questions crucialesLes Gardiens de la révolution pédagogique
Les chiffres cités par le recteur Pécheul sur la place de la méthode syllabique à l’école appellent deux précisions : - Ils ont très peu varié depuis 2006, date de la tentative de Gilles de Robien d’en faire de nouveau le moyen normal d’enseigner la lecture, - les enfants des catégories socio professionnelles les plus modestes sont ceux qui en sont le plus souvent privés.
Le blocage de la situation est le fait de spécialistes des sciences de l’éducation, qui contrôlent la formation des maîtres et le financement de la recherche, et de syndicats d’enseignants bien présents dans les corps de l’inspection. La liberté pédagogique
Ce numéro de rentrée de notre Lettre présente deux exemples des obstacles au redressement de l’école, l’un sur les méthodes de la presse et l’autre sur celui de la plus importante fédération syndicale des enseignants du primaire.
Dans le premier cas, Le Monde, gardien autoproclamé d’un nouvel ordre moral, a dénoncé, une prétendue « erreur » de Jean-Michel Blanquer, affirmant que le fondamentalisme islamiste était un obstacle à la scolarisation des filles. "L'erreur" de Jean-Michel Blanquer
Jean-Michel Blanquer a déclaré, sur France Culture, le 31 août : « Il y a plus de filles que de garçons qui ne vont pas à l’école maternelle pour des raisons sociétales. Et appelons un chat un chat, le fondamentalisme islamiste dans certains territoires a fait que certaines petites filles vont à l’école le plus tard possible. »
Les Décodeurs du journal Le Monde ont publié le 1er septembre un billet indiquant que si les filles représentent 48,8% des naissances, elles représentent 50,3% des enfants scolarisés à 2 ans, 48,9% de ceux de 3 ans et 49% de ceux de 4 ans. Réponse à une tribune de Paul Devin
L'école de la confiance
Jean-Michel Blanquer avait déclaré, après sa nomination, il y a deux ans, à la tête de l’Education nationale qu’il n’y aurait pas de loi Blanquer. Cette déclaration reflétait sa volonté de redresser la situation dans laquelle ses prédécesseurs avaient laissé l’école par des mesures de bon sens, plutôt que par de grandes résolutions de principe.
S’il s’est résolu à présenter au Parlement le projet de loi intitulé « Pour une école de la confiance », c’est sans nul doute parce que les décisions qu’il a prises se sont heurtées à l’opposition active ou passive d’une partie notable du corps enseignant, de la grande majorité de leurs syndicats et à celle des spécialistes des sciences de l’éducation, décidés à faire échouer toute réforme. Plus d'articles... |