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CHARLEMAGNE

  Le bilan de l'ère Blanquer

AP

Chers amis,

 

Le soir de sa réélection, Emmanuel Macron a déclaré : « Cette ère nouvelle ne sera pas la continuité du quinquennat qui s’achève, mais l’invention collective d’une méthode refondée ».

 

Quel est le bilan de l’ère ancienne, avec Jean-Michel Blanquer à la tête du ministère de l’Education nationale et que peut-on attendre de l’ère nouvelle avec Pap Ndiaye ?

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Questions cruciales

Genre et mythologie

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Créé le mardi 29 avril 2014 07:48

 

Le désir d'être différent de ce que l'on est ne date pas d'aujourd'hui : le désir de changer d'âge, de nom et de prénom ou de condition se retrouve à toutes les époques, tout comme celui de changer de sexe.

 

Commençons par Montaigne qui dans le chapitre XXI du Livre I des Essais nous raconte que passant à Vitry-le-François, il y avait vu un homme nommé Germain, fort barbu et vieux, que « les habitants de là avaient connu et vu fille jusqu’à l’âge de vingt deux ans, nommée Marie », lorsque « Faisant quelque effort en sautant, ses membres virils se produisirent ».

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Lecture au CP : un effet-manuel considérable

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Créé le samedi 8 février 2014 12:11

Sous le titre quelque peu énigmatique de Lecture au CP : un effet-manuel considérable, l'Université de Versailles a publié en novembre, sous la responsabilité scientifique de Jérôme Deauvieau, avec la collaboration d'Odile Espinoza et d'Anne-Marie Bruno, un rapport de recherche[1] comparant les résultats obtenus dans l'apprentissage de la lecture avec des méthodes mixtes (semi-globales) ou alphabétiques (syllabiques).

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Sus aux Grandes écoles !

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Créé le vendredi 7 février 2014 16:37

Les attaques contre les Grandes écoles ne datent pas d'aujourd'hui. Déjà en 1958, l'Union des Grande Ecoles, "syndicat" des élèves de Grandes écoles, pris en main par la gauche, se ralliait à la position de l'UNEF qui réclamait leur suppression.

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Les manœuvres de M. Peillon

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Créé le vendredi 31 janvier 2014 14:10

Les attaques contre la famille tout au long de l'année 2013 ont quelque peu occulté les manœuvres de M. Peillon pour « refonder l'école ».

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Un exemple de « dissociation de l’individu » : l’échec scolaire

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Créé le mercredi 8 janvier 2014 19:53

Quel meilleur moyen pour « arracher l’enfant » comme l’adulte  à leurs «déterminismes familiaux, culturels et religieux » que de rendre leur esprit incapable d’analyse et d’esprit critique.  La fabrique des crétins [1]  est le plus sûr moyen de contrôler la société pour régner sans partage sur un troupeau de décervelés .

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Plus d'articles...

  1. La crise du système éducatif
  2. Le durcissement de la carte scolaire
  3. Les rythmes scolaires
  4. Le bazar à l'école

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Les Brèves

Citations sur la lecture

Marcel Aymé « Brûlebois »
« Et puis, tu as trop de livres. A ta place, je fourrerais tout au grenier, sans compter que tu auras là de quoi te torcher le cul jusqu’à un âge avancé. Moi je ne lis presque rien. Toute ma bibliothèque tient sur un rayon à côté d’une bouteille de fine : Molière et Alexandre Dumas. C’est bon teint, depuis quarante an que je les lis, je n’en suis pas encore fatigué. »
 
Barbey d’Aurevilly. Ce qui ne meurt pas
« Il passait ses journées sans livres, dans une solitude et une oisiveté vraiment effrayantes, et madame de Scudemor avait eu raison de lui dire, sous le massif du jardin : "savez-vous, Allan, que je suis inquiète de vous ? »
 
Récits d’une tante (Mémoires de la comtesse de Boigne)
« J'avais appris à lire avec une si grande facilité qu'à trois ans je lisais et débitais pour mon plaisir et même, dit-on, pour celui des autres, les tragédies de Racine. »
 
Brantôme. Vie des hommes illustres français : Le maréchal Armand de Biron 
« Nourri page de la grande reyne de Navarre Marguerite de Valois [.] Il avait fort aymé la lecture, et la continua fort bien dès son âge. Il avait été de s’enquérir et savoir tout, si bien qu’ordinairement il portait dans sa poche des tablettes, et tout ce qu’il voyait et oyait de bien, aussitôt il le mettait et escrivait sur les dites tablettes ; si bien que cela courrait à la Cour en forme de proverbe, quand quelqu’un disait quelque chose, on lui disait, tu as trouvé cela ou appris sur les tablettes de Biron. »
 
Charlotte Brontë. Jane Eyre ou Les mémoires d’une institutrice (1847). 
« C’était l’âge d’or de la littérature moderne. Hélas ! Les lecteurs de nos jours sont moins heureux. Mais, courage ! Je ne veux ni accuser ni désespérer je sais que la poésie n’est pas morte ni le génie perdu. La richesse n’a pas le pouvoir de les enchaîner ou de les tuer ; un jour tous deux prouveront qu’ils existent, qu’ils sont libres et forts. Anges puissants réfugiés dans le ciel, ils sourient quand les âmes sordides se réjouissent de leur mort et quand les âmes faibles pleurent leur destruction. La poésie détruite, le génie banni ! Non, m médiocrité, non, que l’envie ne vous suggère pas cette pensée. Non seulement ils vivent, mais ils règnent et rachètent ; et, sans leur influence divine qui s’étend partout, vous seriez dans l’enfer de propre pauvreté. »
 
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