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CHARLEMAGNE

  Le bilan de l'ère Blanquer

AP

Chers amis,

 

Le soir de sa réélection, Emmanuel Macron a déclaré : « Cette ère nouvelle ne sera pas la continuité du quinquennat qui s’achève, mais l’invention collective d’une méthode refondée ».

 

Quel est le bilan de l’ère ancienne, avec Jean-Michel Blanquer à la tête du ministère de l’Education nationale et que peut-on attendre de l’ère nouvelle avec Pap Ndiaye ?

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Questions cruciales

Le congrès de l'APEL

Détails
Créé le vendredi 1 juillet 2016 09:38

L’Apel nationale, qui rassemble les associations de parent d’élèves de l’enseignement catholique a tenu au début de juin son congrès qui a lieu tous les deux ans. Son équipe dirigeante avait suivi le Secrétariat Général de l’Enseignement Catholique dans son soutien à la réforme du collège.

Ce soutien a été fortement critiqué par un grand nombre de parents que l’Apel s’était bien gardée de consulter. Il a entraîné la création d’une nouvelle association par des établissements ayant suspendu leur participation à l’Apel et suscité deux candidatures contre le tandem dirigeant qui se représentait pour un troisième mandat de deux ans.

 

Le tandem sortant a été réélu avec 87% des suffrages, les deux tandems d’opposants, l’un plaidant pour une nécessaire rénovation des structures de l’association, l’autre mettant l’accent sur les vices de la réforme du collège, mais globalement d’accord sur le fond, se partageant le reste.

 

Contrairement à ce que l’on pourrait penser le score quasi soviétique de l’équipe sortante ne traduit pas une adhésion massive des parents de base.

 

En 1983 et 1984, alors que l’UNAPEL, dénomination de l’Apel nationale à l’époque, demandait au gouvernement de ne pas aggraver le projet Savary, sans quoi, elle ne pourrait plus contenir la colère des parents, peu nombreux étaient au début les responsables académiques et départementaux qui osaient rejeter le projet.

 

Cette attitude tient à une tradition ancienne chez les cathos d’obéissance à la hiérarchie et à une organisation à plusieurs niveaux, école, fédérations départementales, et fédérations académiques. Pour verrouiller le système, les statuts de ces instances ont été modifiés en 86/87 – j’ai assisté à la modification de ceux de la fédération de Paris – par un système attribuant une voix aux élus dans l’instance qui les a élus.

 

Le texte "Sauver l'école pour tous" commente un article de François-Xavier Bellamy, publié dans Le Figaro. Enseignant dans le public, sans pour autant être un adversaire de l’école libre, Il y critique le soutien apporté à la réforme du collège par l’enseignement catholique, non seulement parce qu’il juge cette réforme mauvaise, mais parce qu’il estime qu’elle accentuera la ségrégation scolaire.

 

Dans le texte "le SGEC et l'APEL", je pose la question du partage des responsabilités entre le Secrétariat général de l’enseignement catholique et l’Apel afin que cette dernière ne soit plus un simple relais du SGEC mais le représentant des parents.

 

 

                        Philippe Gorre

 

 


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Les Brèves

Citations sur la lecture

Marcel Aymé « Brûlebois »
« Et puis, tu as trop de livres. A ta place, je fourrerais tout au grenier, sans compter que tu auras là de quoi te torcher le cul jusqu’à un âge avancé. Moi je ne lis presque rien. Toute ma bibliothèque tient sur un rayon à côté d’une bouteille de fine : Molière et Alexandre Dumas. C’est bon teint, depuis quarante an que je les lis, je n’en suis pas encore fatigué. »
 
Barbey d’Aurevilly. Ce qui ne meurt pas
« Il passait ses journées sans livres, dans une solitude et une oisiveté vraiment effrayantes, et madame de Scudemor avait eu raison de lui dire, sous le massif du jardin : "savez-vous, Allan, que je suis inquiète de vous ? »
 
Récits d’une tante (Mémoires de la comtesse de Boigne)
« J'avais appris à lire avec une si grande facilité qu'à trois ans je lisais et débitais pour mon plaisir et même, dit-on, pour celui des autres, les tragédies de Racine. »
 
Brantôme. Vie des hommes illustres français : Le maréchal Armand de Biron 
« Nourri page de la grande reyne de Navarre Marguerite de Valois [.] Il avait fort aymé la lecture, et la continua fort bien dès son âge. Il avait été de s’enquérir et savoir tout, si bien qu’ordinairement il portait dans sa poche des tablettes, et tout ce qu’il voyait et oyait de bien, aussitôt il le mettait et escrivait sur les dites tablettes ; si bien que cela courrait à la Cour en forme de proverbe, quand quelqu’un disait quelque chose, on lui disait, tu as trouvé cela ou appris sur les tablettes de Biron. »
 
Charlotte Brontë. Jane Eyre ou Les mémoires d’une institutrice (1847). 
« C’était l’âge d’or de la littérature moderne. Hélas ! Les lecteurs de nos jours sont moins heureux. Mais, courage ! Je ne veux ni accuser ni désespérer je sais que la poésie n’est pas morte ni le génie perdu. La richesse n’a pas le pouvoir de les enchaîner ou de les tuer ; un jour tous deux prouveront qu’ils existent, qu’ils sont libres et forts. Anges puissants réfugiés dans le ciel, ils sourient quand les âmes sordides se réjouissent de leur mort et quand les âmes faibles pleurent leur destruction. La poésie détruite, le génie banni ! Non, m médiocrité, non, que l’envie ne vous suggère pas cette pensée. Non seulement ils vivent, mais ils règnent et rachètent ; et, sans leur influence divine qui s’étend partout, vous seriez dans l’enfer de propre pauvreté. »
 
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