.componentheading, .contentheading, div.module h3, div.module_menu h3, div.module_text h3, h2, a.contentpagetitle { font-family:Nobile;} #top_outer { border:none;}
Lettre N°5 - INFORMATIONS GÉNÉRALES
I - COMMUNIQUES DE PRESSE DIFFUSES DEPUIS LA LETTRE N° 4 COMMUNIQUE N° 15 (du 20 juin 1984) "Contre le monopole de l’école, ENSEIGNEMENT et LIBERTE invite ses adhérents à participer à la manifestation du 24 juin 1984. Rassemblement à 13 h 00 rue de l’Arrivée, au coin de la Place du 18 juin 1940." COMMUNIQUE N° 16 (du 13 juillet 1984) "La volonté populaire, clairement manifestée les 17 et 24 juin, et le Sénat, dont la résistance était indomptable parce qu’elle donnait un cadre institutionnel à l’expression de cette volonté, ont contraint le Pouvoir à une retraite dont l’habileté de sa présentation ne saurait dissimuler le caractère humiliant. ENSEIGNEMENT et LIBERTÉ se réjouit de cette première victoire mais ne se laissera pas griser par ce succès :
On peut douter de sa volonté en la matière puisque le Président de la République parle de "points qui relèvent à l’évidence des procédures habituelles". On peut donc redouter que le référendum annoncé, sur la Constitution, n’ait pour but que d’en éviter un autre, désiré par les Français, qui leur permettrait de se prononcer en toute clarté sur l’ensemble des questions concernant l’enseignement privé. La plus grande vigilance s’imposera dans la période nouvelle qui s’est ouverte hier." COMMUNIQUE N° 17 (du 31 août 1984) "Les "propositions" de Monsieur CHEVENEMENT relatives à l’enseignement privé constituent une simple déclaration d’intention et on ne pourra entièrement les juger que lorsqu’elles auront été complétées par des textes précis. Elles n’apportent pas les conditions d’un apaisement définitif de la question scolaire mais manifestent qu’après la déroute qu’il a subie, le Gouvernement éprouve le besoin de conclure, à des termes favorables, une trêve qu’il pourra toujours remettre en cause lorsque les circonstances lui seront moins funestes. Toutes les modifications qu’on projette d’apporter au statu quo (crédits limitatifs, soumission à la carte scolaire, mise en place de commissions de concertation, etc...) sont faites au détriment de l’enseignement privé. Elles reprennent ou évoquent en filigrane des dispositions contenues dans la loi SAVARY. Dans un premier temps elles empêcheront le développement de l’enseignement privé ; dans un second temps elles viseront à l’enserrer dans un réseau de contraintes étatiques. Faute de pouvoir réaliser brutalement ses desseins, le Gouvernement adopte la stratégie du grignotage." II - LIBERTÉ DE CHOIX DES PARENTS Nous combattons pour que cette liberté existe dans l’école publique et dans l’école privée. L’étape législative, dans la direction du grand service public laïc unifié, ayant échoué, il faut s’attendre au déclenchement d’une guérilla administrative dans le même but. Nous demandons à nos lecteurs de nous adresser toutes les informations dont ils peuvent avoir connaissance sur les atteintes portées au libre choix de l’école par les Parents en raison de l’insuffisante capacité d’accueil ou de difficultés d’inscription. III - DERNIÈRE NOUVELLE Monsieur CHEVENEMENT, nouveau Ministre de l’Éducation Nationale, nous a annoncé des mesures "simples et pratiques". Sans attendre l’énoncé de ces mesures, il nous a paru nécessaire de faire, au moyen de cette lettre, un bilan des événements antérieurs. Bien entendu, si la situation le demande, nous la compléterons au cours du trimestre par un numéro spécial. ORGANISATION :
ACTIVITÉS :
ADHÉSIONS
Tweet |