.componentheading, .contentheading, div.module h3, div.module_menu h3, div.module_text h3, h2, a.contentpagetitle { font-family:Nobile;} #top_outer { border:none;}
L’évaluation des élèves
L’évaluation des élèves
Dans le N° 124 de juin de cette Lettre trimestrielle, nous nous demandions si la Conférence nationale d’évaluation que venait de créer M. Benoît Hamon, alors ministre de l’Education nationale, en lui confiant la mission de réformer l’évaluation des élèves, allait recommander le retour aux bons points que les plus anciens d'entre nous ont connus.
L’INACCEPTABLE BANALISATION DE LA VIOLENCE SCOLAIRE
La violence à l’école est désormais devenue un fait divers tout à fait banal. Il ne se passe pas de semaines sans qu’un professeur ne soit agressé par un élève ou qu’un adolescent n’assène un coup de couteau à l’un de ses camarades de classe. Tous les établissements scolaires sont touchés ou presque. Le collège n’y échappe plus, bien au contraire. Et bientôt le mal s’étendra à l’école primaire. Et chacun d’accuser son voisin : les quartiers difficiles, la télévision, la famille monoparentale, l’insuffisance du nombre des surveillants. Si les caméras de télévision sont intervenues à temps, le Recteur accordera quelques postes de surveillants supplémentaires. L’établissement scolaire sera fermé quelques jours puis les choses reprendront leur cours jusqu’à la prochaine agression... pourvu que cela ne fasse pas trop de vagues ! Lire la suite : L’INACCEPTABLE BANALISATION DE LA VIOLENCE SCOLAIRE LA PAROLE EST A L'OPINION
La page Archive, extraite, sauf indication contraire, de La Lettre trimestrielle d'Enseignement et Liberté a pour objet de rappeler l'ancienneté et la permanence de biens de difficultés de l'école, avec l'analyse et les solutions que nous avons proposées. Le texte qui suit de Maurice Boudot, fondateur et premier président de l'association a été publié lors de la création de cette dernière LA PAROLE EST A L'OPINION
La politique conduite depuis le 10 mai en matière d'enseignement présente quelques aspects déroutants. Elle repose sur des principes erronés et ses conséquences sont néfastes ; on peut le déplorer, mais non s'en étonner. Les hésitations, tergiversations, le louvoyage de M. Savary n'exigent pas une explication particulière ; ces traits relèvent de cette fameuse "incohérence" manifestée dans d'autres domaines et imputée (trop légèrement, selon moi) à l'incompétence de ceux qui nous gouvernent. Il n'y a là rien qui puisse intriguer. Le vrai problème est ailleurs. Il réside en ce qu'on ne voit pas les bénéfices que ceux qui la conduisent tirent de cette politique, alors que les préjudices qu'elle leur cause sont très apparents. Sa poursuite semble quasi suicidaire. |