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Lettre N° 19 -LA SURPRISE DE L’UNAPEL
L’Union Nationale des Associations de Parents d’Elèves de l’Enseignement libre s’est déclarée, dans un communiqué de presse du 1er février, "profondément surprise par les déclarations du Président de la F.E.N. sur l’école catholique... Ces propos constituent, à un moment politique sensible, une tentative de relance de la querelle scolaire". Bossuet prononçant l’oraison funèbre du Prince de Condé nous a éclairé d’avance sur la capacité des dirigeants de l’UNAPEL à exercer leurs responsabilités "car il tenait pour maxime qu’un habile capitaine peut bien être vaincu, mais qu’il ne lui est pas permis d’être surpris". L’UNAPEL conclut son communiqué par "en tentant aujourd’hui de relancer une guerre scolaire que personne ne veut... le président de la F.E.N. prend une grave responsabilité. L’UNAPEL met en garde tous les Français contre ce danger mortel pour notre pays". Considérer le président de la F.E.N. comme un isolé relève de la méthode Coué. D’ailleurs, s’il est isolé, pourquoi mettre en garde tous les Français contre le danger qu’il incarne ? Enfin, quelle est la portée pratique d’une mise en garde venant d’une organisation qui pousse la discrétion jusqu’à s’interdire et à interdire à ses adhérents d’interroger les candidats à la présidence de la République sur leur conception de l’école. Craignons que cette attitude ne vaille, dans un proche avenir, une nouvelle surprise à l’UNAPEL et aussi, malheureusement, aux parents qu’elle s’est chargée de représenter. P.J.C.
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