Enseignement et Liberté
  • Présentation
    • Manifeste et comité d'honneur
    • Conseil d'administration
    • Statut
    • Mentions Légales
  • Publications et documents
    • Actualité
    • Dossier "Apprentissage de la lecture"
      • Les articles
    • Documents
    • Travaux législatifs
    • Réponse à un questionnaire
    • Bibliothèque de l'IPC
      • Livres
      • Revues et fascicules
      • Travaux de recherche
    • Recours juridique
  • Activités
    • Colloques et débats
    • Prix d'enseignement et liberté
    • Commandez vos livres
  • Lettres
    • Articles
    • Thèmes
      • Laïcité
      • Politique de l'Éducation
      • Apprentissage de la lecture et pédagogie
      • Violence à l'école
      • Université et grandes écoles
      • Socialisation des enfants
      • International
      • École catholique
      • Aspects constitutionnels
      • Chèque scolaire et écoles hors contrat
  • Soutien
  • Contact
Vous êtes ici : Accueil :: Questions cruciales :: Le SGEC et l'APEL

CHARLEMAGNE

  Liberté d'enseignement et liberté pédagogique

 

AP

L’Instruction en Famille est une liberté reconnue par la loi Jules Ferry de 1882 qui rendait l’instruction obligatoire. Elle a été sacralisée par la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948. Le projet de loi confortant le respect des principes de la République qui sera discuté au Sénat à partir du 30 mars prévoit de soumettre cette liberté à une autorisation préalable au cas par cas.  ll s’agit donc, en fait, d’y mettre fin en la transformant en une  simple dérogation.

Lire la suite...

Questions cruciales

Le SGEC et l'APEL

Détails
Créé le vendredi 1 juillet 2016 09:41

Pascal Balmand qui a apporté le soutien de l’enseignement catholique à la réforme du collège est Secrétaire Général de l’Enseignement Catholique et à ce titre membre du Conseil pour l’enseignement catholique, organe de la Conférence des évêques de France. Le conseil compte quatre autres membres, le Cardinal Ricard, son président, et trois autres évêques.

Pascal Balmand a justifié son soutien à la réforme en y voyant « une volonté de changement qui rejoint les évolutions souhaitées par l’Enseignement catholique », tout en précisant que « ses analyses ne relèvent en rien d’une prise de position [.] par rapport à Mme la ministre ».

 

Il est vrai que « chrétiens engagés » et pédagogistes inspirés par Rousseau font depuis longtemps chemin ensemble. C’est dans l’école catholique qu’est née l’idée, du temps où Jospin était ministre de l’Education nationale, de mettre « l’élève au centre du système éducatif ».

 

S’il paraît normal que relève en priorité du SGEC la question de la transmission de la foi et celle des rapports avec les pouvoirs publics, ne serait-il pas plus logique de laisser la parole en premier aux parents et à leurs représentants directs quand il s’agit des études de leurs enfants ?

 

Cela serait conforme aux statuts de l’enseignement catholique qui disposent :

Première partie Section 1/• Les responsables de l’éducation/art. 4

La responsabilité éducative revient en premier lieu aux parents, de manière irremplaçable. Ils sont les premiers et principaux éducateurs de leurs enfants ; ils ont à favoriser leur « éducation totale, personnelle et sociale »

 

Cinquième partie Section 2/LA GOUVERNANCE/• Organisation, subsidiarité, bien commun et charité

art. 239

L’organisation de l’Enseignement catholique répond aux principes de subsidiarité, de bien commun et de charité, qui s’appliquent à tous les niveaux (communautés d’établissements, réseaux, diocèse, académie...). Les formes d’organisation et de gouvernance interviennent à la seule mesure des besoins, comme un concours qui établit ou rétablit le niveau de proximité dans sa capacité d’initiative et dans ses moyens propres d’agir et de se développer.

 

 

Ph G


Tweet
  • < Précédent
  • Suivant >
FacebookTwitter

Les Brèves

Propos d'un proviseur sur les notes

Définir la performance, avoir 18, réussir le bac ou une classe préparatoire est nécessairre. Mais que vaut une bonne note si la question était "con" ? Nous avons des élèves pour leur donner un socle commun de compétences et de savoir-être pour entrer le mieux possible dans la société. Avoir le bac avec 10 et être bien intégré vaut mieux qu'un 20 qui crée un asocial, comme on peut en voir dans certaines prépas.

Publié dans le magazine de la MAIF

 
Details...


Création de postes de professeurs

Le ministère de L'Education nationale a annoncé la création de 4 686 postes de professeurs pour le primaire et le secondaire à la prochaine rentrée. 4 341, soit 93%, sont attribués au public et 345, soit 7%, le sont au privé sous contrat, alors que le public scolarise, d'après les chiffres du ministère, 83% des élèves et le privé sous contrat 17%.

 
Details...