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CHARLEMAGNE

  Liberté d'enseignement et liberté pédagogique

 

AP

L’Instruction en Famille est une liberté reconnue par la loi Jules Ferry de 1882 qui rendait l’instruction obligatoire. Elle a été sacralisée par la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948. Le projet de loi confortant le respect des principes de la République qui sera discuté au Sénat à partir du 30 mars prévoit de soumettre cette liberté à une autorisation préalable au cas par cas.  ll s’agit donc, en fait, d’y mettre fin en la transformant en une  simple dérogation.

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Questions cruciales

Le congrès de l'APEL

Détails
Créé le vendredi 1 juillet 2016 09:38

L’Apel nationale, qui rassemble les associations de parent d’élèves de l’enseignement catholique a tenu au début de juin son congrès qui a lieu tous les deux ans. Son équipe dirigeante avait suivi le Secrétariat Général de l’Enseignement Catholique dans son soutien à la réforme du collège.

Ce soutien a été fortement critiqué par un grand nombre de parents que l’Apel s’était bien gardée de consulter. Il a entraîné la création d’une nouvelle association par des établissements ayant suspendu leur participation à l’Apel et suscité deux candidatures contre le tandem dirigeant qui se représentait pour un troisième mandat de deux ans.

 

Le tandem sortant a été réélu avec 87% des suffrages, les deux tandems d’opposants, l’un plaidant pour une nécessaire rénovation des structures de l’association, l’autre mettant l’accent sur les vices de la réforme du collège, mais globalement d’accord sur le fond, se partageant le reste.

 

Contrairement à ce que l’on pourrait penser le score quasi soviétique de l’équipe sortante ne traduit pas une adhésion massive des parents de base.

 

En 1983 et 1984, alors que l’UNAPEL, dénomination de l’Apel nationale à l’époque, demandait au gouvernement de ne pas aggraver le projet Savary, sans quoi, elle ne pourrait plus contenir la colère des parents, peu nombreux étaient au début les responsables académiques et départementaux qui osaient rejeter le projet.

 

Cette attitude tient à une tradition ancienne chez les cathos d’obéissance à la hiérarchie et à une organisation à plusieurs niveaux, école, fédérations départementales, et fédérations académiques. Pour verrouiller le système, les statuts de ces instances ont été modifiés en 86/87 – j’ai assisté à la modification de ceux de la fédération de Paris – par un système attribuant une voix aux élus dans l’instance qui les a élus.

 

Le texte "Sauver l'école pour tous" commente un article de François-Xavier Bellamy, publié dans Le Figaro. Enseignant dans le public, sans pour autant être un adversaire de l’école libre, Il y critique le soutien apporté à la réforme du collège par l’enseignement catholique, non seulement parce qu’il juge cette réforme mauvaise, mais parce qu’il estime qu’elle accentuera la ségrégation scolaire.

 

Dans le texte "le SGEC et l'APEL", je pose la question du partage des responsabilités entre le Secrétariat général de l’enseignement catholique et l’Apel afin que cette dernière ne soit plus un simple relais du SGEC mais le représentant des parents.

 

 

                        Philippe Gorre

 

 


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Propos d'un proviseur sur les notes

Définir la performance, avoir 18, réussir le bac ou une classe préparatoire est nécessairre. Mais que vaut une bonne note si la question était "con" ? Nous avons des élèves pour leur donner un socle commun de compétences et de savoir-être pour entrer le mieux possible dans la société. Avoir le bac avec 10 et être bien intégré vaut mieux qu'un 20 qui crée un asocial, comme on peut en voir dans certaines prépas.

Publié dans le magazine de la MAIF

 
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Sondage

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